vous accompagne vers un milieu plus inclusif et durable
Auteur : Julie Dumontier
Entrepreneuse à temps partiel pour vous aider à rendre votre environnement inclusif et durable, travailleuse pour les droits humains à temps plein, amatrice de technologie, qui exprime ses idées et conseils. Enchantée!
Faites-vous partie des gens qui aiment recevoir pendant les Fêtes? Vous aimez acheter des cadeaux pour vos proches? Vous adorez avoir un décor flamboyant pendant cette période?
Certes, cela vous fait sans doute plaisir sur le coup, mais comment faire pour éviter de suracheter et de devoir entreposer ce matériel tout le reste de l’année? ou même, de se laisser emporter par le plaisir de donner et de dépasser son budget dédié aux cadeaux?
Vous aurez sans doute deviné, tout passe par la question « Est-ce que ça me procure de la joie? ». « Mais encore? », vous allez sans doute me demander.
Voici comment bien se poser cette question en 3 étapes pour avoir des résultats pertinents:
1- Quand vous organisez un rassemblement ou achetez un cadeau, demandez-vous si ça vous procure de la joie de prendre cette démarche en main. Si oui, c’est un bon point de départ. Sinon, est-ce qu’un rassemblement plus modeste ou un cadeau plus petit (ou moins cher) vous apporterait plus de joie?
2- Lorsque vous sélectionnez les items à acheter pour votre rassemblement (par exemple, les décorations, la nourriture, un centre de table, etc.) ou les cadeaux pour les personnes invitées, ressentez-vous de la joie? Si oui, vous êtes sur la bonne voie pour respecter votre budget et votre instinct. Sinon, optez pour un décor plus sobre ou des cadeaux non matériels pour les personnes invitées.
3- Quand vous pensez à « l’après » de cet événement ou cette remise de cadeaux, ressentez-vous de la joie? Si oui, alors, vous êtes en phase avec vos objectifs et votre budget. Sinon, pensez à discuter avec les gens de la possibilité de ne pas donner de cadeaux. Pensez également aux items que vous aurez à entreposer le reste de l’année et privilégiez une quantité qui ne vous causera pas d’anxiété.
Avec ces 3 petites questions, vous serez sur la bonne voie pour respecter votre budget, éviter de trop acheter de décorations saisonnières, minimiser le temps passé sur le rangement ainsi que l’espace nécessaire et, par-dessus tout, avoir du plaisir!
Ça y est! J’ai maintenant atteint le niveau bronze, soit le deuxième niveau de reconnaissance de la certification Konmari! Je poursuis donc ma route en désencombrement et revalorisation d’objets!
Que cela signifie-t-il pour vous exactement?
Dans les faits, j’aurai la même approche, mais cela signifie que j’ai maintenant davantage d’expérience pour vous accompagner sur la route de la durabilité. J’ai encore plus d’idées pour organiser vos choses, mettre en valeur ce que vous gardez et disposer de façon responsable de ce que vous ne gardez pas!
Je suis prête pour de nouveaux mandats! D’ailleurs, pour célébrer cette énergie renouvelée, j’offre un 10% de rabais aux personnes abonnées à ma liste courriel. D’ici au 15 septembre 2025, si vous réservez une séance de travail de désencombrement avec moi (la séance peut avoir lieu après le 15 septembre, mais la réservation doit être faite avant), vous obtiendrez un rabais de 10% sur le prix de cette séance.
Vous ne souhaitez pas désencombrez, mais connaissez une personne qui en meurt d’envie? Transférez-lui ce courriel et elle pourra bénéficier du rabais! Elle n’a qu’à mentionner le courriel au moment de me contacter à info@altermonde.ca
En début d’année, paraissait cet article français sur les compétences en gestion à maîtriser. L’article se concentrait sur les softs skills, qu’on appelle souvent savoir-être ou quotient émotionnel, soit des compétences qui ne sont pas liées aux connaissances techniques d’un domaine, mais plutôt au comportement humain des gestionnaires.
Cet article mentionnait dès le deuxième point que la communication inclusive est incontournable. Je ne saurais être plus d’accord, car c’est tout à fait juste! Communiquer de façon inclusive est une excellente méthode pour assurer la contribution de tout le monde au sein d’une équipe, optimiser le potentiel de chaque personne et inculquer une culture du respect qui augmente le moral, la rétention et la productivité des gens.
On est à la mi-2025 et je ne vois pas du tout le besoin de maîtriser cette compétence s’essoufler. Avec la mouvance des milieux de travail, notamment le recours à des équipes délocalisées composées de gens de partout dans le monde, la nécessité de savoir bien s’adresser aux gens et de tenir compte de réalités multiples dans les canaux de communication aura toute son importance. Des communications respectueuses peuvent rendre les équipes plus soudées, plus performantes et bénéficier à toutes les parties prenantes.
Dans votre milieu de travail, quelle est une chose que vous pourriez faire dès maintenant pour promouvoir une communication plus inclusive? Écrivez vos idées ci-dessous en commentaires 🙂
Vous ne savez pas par où commencer? Contactez-moi!
On apprenait récemment dans un reportage que les gens donnent n’importe quels items à des centres de dons, parfois même en cachette, sans doute parce qu’ils savent que leurs dons ne sont pas conformes.
Le reportage a lieu au Saguenay, mais la situation est similaire partout en province. Donner une nouvelle vie à vos objets après avoir désencombré votre espace est extrêmement noble et une pratique durable à préconiser. Toutefois, lorsque c’est fait sans respecter les règles, ça crée du dommage aux autres items autour, ça ajoute du travail au personnel des centres de dons et ça n’aide pas du tout l’environnement puisque certains items nécessitent des précautions spéciales. De plus, ce n’est juste pas du bon voisinnage.
Voici plutôt quoi faire avec vos items:
des médicaments inutilisés ou expirés? rapportez-les à votre pharmacie
des produits chimiques en trop? apportez-les à votre écocentre (visitez le site web de votre municipalité pour trouver l’emplacement et les heures d’ouverture)
des jouets, jeux ou des casse-tête? donnez-les à une joujouthèque ou un centre de dons. Certaines biliothèques municipales les acceptent également. Vérifiez auprès de votre bibliothèque locale.
des livres que vous ne lirez plus? déposez-les dans un croque-livres ou dans un centre de dons
des vêtements en bon état? apportez-les dans un centre de dons
des vêtements en mauvais état? De grâce, ne les apportez pas dans un centre de dons. Jetez-les ou offrez-leur une nouvelle vie. Vous ne savez pas comment? Voyez mes petits trucs dans cette courte vidéo
D’autres items non mentionnés ici? Consultez Ça va où de Recyc-Québec
Vous voilà maintenant en meilleure posture pour vraiment donner une nouvelle vie à vos objets!
Partagez en commentaires ci-dessous vos autres trucs!
Il y a quelque temps, Sophie Durocher publiait une opinion dans laquelle elle indiquait en avoir ras-le-bol de l’écriture inclusive. De son point de vue, l’écriture inclusive contient tellement de néologismes (mots qui n’existaient pas avant) qu’il devient difficile de comprendre les textes et de savoir exactement à qui on s’adresse.
*Avant de poursuivre, dans son article, Sophie Durocher s’étonne de l’utilisation du mot creìateur·rice·s par le Salon du livre de Montréal. Me questionnant moi-même sur ce mot, j’ai découvert qu’il s’agissait vraisemblablement d’une erreur de frappe que le Salon a corrigée depuis. Des recherches sur le web m’indiquent également que ce mot semble seulement présent dans des textes traduits, qui ont mal transcrits le é. Il ne semblerait donc pas en usage.
Qu’on soit d’accord ou non avec son point de vue, un élément est incontournable en matière d’écriture inclusive: il faut tenir compte de son public cible. L’écriture inclusive est une philosophie générale d’écriture, qui contient une pluralité de techniques. Parmi ces techniques se trouve le recours aux néologismes, mais c’est loin d’être la seule. D’ailleurs, je recommande rarement d’utiliser des néologismes dans des textes, car ils sont plus difficiles à comprendre pour une pluralité de personnes.
C’est là l’erreur à ne pas commettre : se concentrer sur le message d’inclusion sans se demander si son public va comprendre. L’inclusion ne s’effectue pas seulement sur le plan de la représentation des femmes, des hommes et d’autres genres, mais aussi en s’adressant à tous les publics, incluant à des personnes qui ont divers niveaux d’alphabétisation, des handicaps visuels, etc.
Pour rendre vos textes accessibles à un grand nombre de personnes, voici 5 questions à se poser pour choisir les techniques appropriées de rédaction inclusive :
1- À quel endroit est situé votre public cible?
Selon si votre public est situé au Canada ou en Afrique par exemple, le langage courant peut varier, ce qui fait que certaines expressions ne seront pas comprises ou pourront avoir une signification différente. Attention aux néologismes dans ce cas.
2- Votre texte se lit-il bien à l’aide d’un logiciel de lecture d’écran?
Les personnes qui ont des handicaps visuels peuvent recourir à des logiciels qui effectuent une lecture à voix haute des textes. Lorsqu’un mot est écrit avec un point médian, un point ou une formule contractée (par exemple auteurice), le logiciel peut alors le prononcer d’une façon difficilement compréhensible pour une personne qui ne voit pas le mot. Dans ce cas, il est mieux de privilégier d’autres techniques, comme le recours aux mots épicènes.
3- Votre public a-t-il le français comme langue maternelle?
Apprendre une nouvelle langue n’est jamais facile, mais si vous avez une clientèle internationale, vous pouvez faciliter l’appropriation de vos écrits grâce à des techniques bien choisies. Par exemple, au lieu de recourir à des néologismes ou des formes tronquées (lorsqu’on met un point médian, une barre oblique, un point), vous pouvez recourir à l’utilisation du vous et rédiger votre texte en vous adressant directement à votre public. « Vous lisez un texte » devient alors plus inclusif que « vous êtes un lecteur ».
4- Quel est le niveau d’alphabétisation de votre public?
Tout comme pour le point précédent, si vous savez que votre public a des niveaux de compréhension variés, allez-y avec un vocabulaire simple (sans néologismes), en vous adressant directement à votre public, à la voix active.
5- Quel est le but de votre texte?
Votre texte a-t-il pour but d’informer, de convaincre, d’éduquer? Si, par exemple, votre texte a pour but de convaincre des gens, adressez-vous au public directement avec la forme impérative (comme je viens de le faire ici). Ainsi, une phrase du type « achetez immédiatement ce produit pour vous faciliter la vie » sera plus inclusive qu’une phrase rédigée à la voix passive contenant plusieurs adjectifs genrés.
Ces questions vous aideront sans doute à mieux rédiger pour rejoindre le plus grand public possible. N’oubliez pas qu’en cas de doute, vous pouvez faire appel à moi pour réviser vos textes et les rendre inclusifs.
Plusieurs personnes commencent chaque nouvelle année en adoptant des résolutions et en examinant leur vie pour déterminer les aspects qu’elles souhaitent améliorer.
Elles peuvent choisir de faire un grand ménage de leur garde-robe, de tisser des liens avec de nouvelles personnes, développer de nouvelles habitudes, etc.
Si vous avez choisi de développer des habitudes écologiques, j’ai un outil pour vous!
Pour vous féliciter au quotidien des gestes écologiques que vous faites et vous réjouir de votre impact à travers le temps, j’ai créé pour vous un outil de monitorage d’habitudes écologiques. Le fichier contient ce qu’il vous faut pour annoter, indiquer et mesurer les gestes que vous posez. Tout est rassemblé en un seul outil pour faciliter l’intégration de gestes écologiques dans votre quotidien!
Autre avantage, si vous voulez avoir un impact encore plus positif sur la planète, vous pouvez même utiliser cet outil au travail pour que l’ensemble de l’équipe participe et améliore l’empreinte de votre milieu de travail. Génial, non?
Voyez l’outil et procurez-vous le sur ma boutique Etsy ici.
Quel geste écologique vous a amené le plus de fierté? Faites-moi savoir dessous!
Je suis récemment tombée sur cet article (en anglais) qui passait en revue des méthodes de désencombrement préférées de plusieurs spécialistes du domaine.
Évidemment, la méthode Konmari s’y trouvait. L’article explique que c’est une méthode qui exige des gens de trier leurs items par catégories et que ça les aide à choisir ce qui reste et ce qui part.
Par contre, je trouve cette explication très simpliste. Au-delà de trier par catégorie, la méthode Konmari exige de sortir TOUS les items avant même de commencer le tri. Laissez-moi vous dire que voir votre pile de vêtements, de livres, d’ustensiles ou autres d’un coup, ça frappe!
Une fois que tout est sorti, il faut prendre les objets un à un et décider si on les garde ou pas (en se demandant si ça apporte de la joie). En fait, on change carrément d’approche : au lieu de regarder au hasard ce qu’on a et décider ce qu’on écarte, c’est comme si on se trouvait après un déménagement dans un mini-magasin avec tous ces items disponibles à « l’achat » et qu’on devait choisir ce qu’on achète. Carrément l’inverse! On fait table rase et on détermine les objets auxquels on accorde le privilège d’entrer dans nos vies et notre espace.
C’est ça qui en fait une méthode durable, qui a vraiment un impact positif sur son milieu. Plus besoin de consacrer du temps, de l’argent, des ressources, de l’espace et de l’énergie à maintenir des objets qui n’ajoutent pas de valeur à nos vies. Ce qu’on garde fait notre bonheur et on donne une nouvelle vie à ce qu’on ne garde pas! Ça fait du bien au coup d’oeil, au moral et, bien évidemment, à l’environnement!
Plusieurs personnes indiquent que ce changement de paradigme est tellement bénéfique que ça leur a donné envie de « faire le ménage » d’autres aspects de nos vies. Elles choisissent dorénavant ce qui entre dans leur vie dans les amitiés, les loisirs, les cadeaux, tout!
La méthode Konmari est la seule qui est durable et combat réellement la surconsommation : une fois qu’on constate visuellement la quantité phénoménale d’objets qu’on possède sans le savoir et le trouble que c’est de gérer tout ça, l’envie d’acheter pour acheter ne revient pratiquement jamais, car les objets achetés impulsivement ont souvent peu de valeur ajoutée, ce qui leur fait perdre leur attrait.
Pour mieux connaître les rouages d’un désencombrement Konmari, visionnez ma vidéo :
Pour repenser son espace, on sort tout et on recommence!
Si vous avez à cœur les valeurs de durabilité, vous avez sûrement essayé de faire durer vos appareils électroniques le plus longtemps possible. Vous avez sans doute tenté de les réparer si un petit quelque chose ne fonctionnait plus dessus. Soit, vous avez contacté des commerces de réparation, qui ont affirmé qu’acheter le même objet neuf serait plus simple et moins cher (ou que la fameuse pièce défectueuse ne se vend plus).
Soit, vous avez effectué les réparations par vous-même à l’aide de tutoriels, avec des résultats mitigés. Si vos résultats étaient bons, je vous félicite!
Ces options ne vous conviennent pas? Essayez alors cette troisième option : participer à un Repair café! (Il n’y a pas de traduction officielle, mais on pourrait utiliser café ou atelier de réparation en français.)
C’est quoi un repair café, vous vous demandez?
Il s’agit d’un atelier communautaire où les gens se réunissent pour réparer ensemble des objets défectueux avec l’aide de personnes bénévoles. On peut ainsi éviter de jeter ces objets! Ces ateliers sont ouverts au grand public. Différents outils et matériels sont à disposition pour effectuer les réparations. On peut y réparer toutes sortes d’objets, mais l’électronique a la cote.
Pour participer, il suffit de trouver où et quand a lieu le prochain repair café près de chez vous et de vous y présenter avec votre objet et les pièces qui vont avec.
Aucuns frais à débourser pour participer! Vous ressortez de là avec un objet qui fonctionne, des frais de remplacement évités et de l’aide gratuite qui vous a évité de payer pour la réparation! C’est génial, non?
Maintenant que vous rafolez de l’idée, vous vous demandez comment trouver un repair café près de vous?
Facile! Vous n’avez qu’à visiter le site international pour repérer votre ville sur la carte Visiter – Repaircafe
Puisque personne n’est contre la vertu, vous êtes sûrement en faveur de créer des messages qui s’adressent à tout le monde dans vos communications professionnelles.
Par contre, une petite recherche sur le sujet va vite vous faire réaliser qu’il y a plusieurs concepts dont on peut tenir compte et ce n’est pas toujours évident de s’y retrouver!
Pour démêler tout ça, je vous ai concocté une petite vidéo qui explique les principaux concepts liés à la communication inclusive.
On y aborde les notions de :
Langage clair (qui mise sur un langage simple)
Rédaction épicène (qui mise sur les mots qui ne changent pas de forme)
Communication inclusive (qui mise sur les tous les aspects de la communication)
Rédaction inclusive (qui mise sur un écrit inclusif)
Cliquez ci-dessous pour le visionnement!
La vidéo été éclairante et vous donne le goût de mettre en œuvre ces concepts pour faire rayonner davantage votre entreprise ? Je suis là pour vous aider ! Allez ici pour me contacter.
Vous avez éliminé ce qui est en trop et souhaitez faire un peu d’argent ? Découvrez 3 endroits où vendre vos objets usagés !
Vous avez une armoire débordante de vêtements que vous ne portez plus ? Un grenier rempli de trésors oubliés ? Un garage regorgeant d’objets qui n’ont plus leur place dans votre vie ? Ne laissez pas ces objets prendre la poussière ! C’est l’occasion idéale de leur donner une seconde vie et de faire un peu d’argent en même temps !
Mais où vendre ces objets usagés ? Je vous propose aujourd’hui de découvrir 3 applications que j’ai moi-même utilisées pour délester votre surplus et faire un peu d’argent !
1. Kijiji : un intournable partout au Canada
Kijiji, c’est le site d’annonces incontournable pour toute personne qui veut vendre des objets d’occasion. Il est simple d’utilisation, gratuit et propose un large choix de catégories pour classer vos biens. Vous pouvez ainsi vendre des vêtements, des meubles, des objets de décoration, des livres, des jeux vidéo, des appareils électroniques… bref, presque tout ce que vous voulez !
Pourquoi Kijiji est une valeur sûre ?
Un public local : Vous mettez en vente vos objets à proximité de votre domicile, ce qui facilite les transactions et les échanges.
Des frais inexistants : Publiez vos annonces gratuitement et sans engagement.
Un large choix de catégories : Vous trouverez facilement la catégorie qui correspond à votre objet.
La possibilité de négocier : Vous pouvez discuter du prix avec les personnes intéressées pour trouver un arrangement satisfaisant pour les deux parties.
Les petits désagréments de Kijiji :
Les ventes se font en majorité dans les premières journées de publication de votre annonce. Usez de précision dans votre annonce pour éviter qu’elle se trouve noyée dans une marée d’annonces par la suite, ce qui diminue votre visibilité et la chance de vendre votre item.
Il faut gérer les interactions. Il arrive que les gens exigent des éléments non prévus, comme la livraison ou changent d’idée une fois sur place pour collecter l’objet. Vous aurez sans doute à garder votre sang-froid.
Prévoyez clairement la forme de paiement préconisée. Peu de gens ont de l’argent comptant en main de nos jours. Certaines personnes arrivent pour collecter l’item acheté, mais n’ont pas l’argent pour le payer. Indiquez clairement le mode de paiement et prévoyez Interac comme plan B. Petit conseil, demandez le virement (et vérifiez que le bon montant a bien été versé) avant de remettre l’article à la personne. Si vous vendez plusieurs items, considérez vous inscrire au dépôt direct Interac.
2. Facebook Marketplace: intégration facile à votre compte Facebook
Si vous avez déjà un compte Facebook, vous apprécierez Marketplace, car c’est une section de vente intégrée directement au site. Nul besoin de créer un compte sur une application distincte! Vous pouvez y vendre de tout dans toutes les gammes de prix !
Marketplace a beaucoup d’atouts à vous offrir :
Une communauté active : Toutes les personnes inscrites à Facebook y ont accès.
Une zone ciblée : Les gens peuvent cibler votre item s’il est dans leur région, augmentant les chances que des gens près de vous soient intéressés.
Des communications faciles : Les communications avec les gens potentiellement intéressés par votre item se font à travers Messenger. Vous recevez donc des notifications lors de nouveaux messages.
Les petits désagréments de Marketplace :
Quantité énorme de messages : Puisque le bassin de personnes est grand, vous recevrez sûrement de nombreux messages, dont plusieurs sont plus ou moins sérieux. Cela peut devenir agaçant, surtout que beaucoup de gens envoient des messagea automatisés, qui sont tous pareils et peu précis.
De nombreuses offres basses : Même si vous indiquez un prix de vente, j’ai trouvé que plusieurs personnes offraient des prix ridiculement bas pour acheter un item. Cela peut avoir un lien avec le fait que, contrairement à Kijiji, les gens vont parfois futer par curiosité, sans chercher un item spécifique, alors ils ne sont pas toujours prêts à y mettre le montant nécessaire.
Caractère intrusif : Les personnes intéressées vous contactent par Messenger, au même titre que vos connaissances. J’ai trouvé cela un peu invasif par moment que les gens puissent voir mon profil et apparaître dans mes messages personnels. Si vous êtes à l’aise avec cela, aucun problème alors!
3. Poshmark : L’application parfaite pour éviter les rencontres physiques
Poshmark est une application qui permet de vendre toutes sortes d’objets dans de nombreuses catégories à un bassin de population partout au Canada. C’est l’application idéale pour vendre vos objets usagés sans avoir à vous soucier de rencontrer des personnes inconnues à votre domicile !
Les plus de Poshmark?
Un bassin de population très large : Comme les achats faits à travers cette application sont envoyés par la poste, les gens intéressés par vos items ne sont pas restreints par une zone géographique spécifique. N’importe qui qui utilise cette application au Canada peut acheter votre bien!
Un prix bien ciblé : La plateforme possède une foule d’informations en mémoire et les utilise pour vous indiquer le prix adéquat pour mettre votre bien en vente. Vous devez également indiquer le prix original de votre bien, ce qui augmente la transparence et crée un sentiment de confiance entre vous et les gens intéressés.
Des offres incitatives : Lorsqu’une personne interagit avec votre item, vous pouvez lui faire une offre individuelle, ce qui augmente les chances de le vendre.
Garantie de paiement : Pour utiliser l’application, il faut créer un compte et ajouter une méthode de paiement. Ainsi, si vous vendez un item, vous avez une garantie de vous faire payer, car le montant est prélevé à même le compte de la personne.
Profil pour tout le monde : Personne ne peut acheter sans compte. Vous savez ainsi que vous faites affaires avec des humains lors de vos interactions.
Items organisés en garde-robe : Tous les items en vente sont placés dans des « garde-robes ». Si une personne aime un de vos items, il est alors très facile pour elle de trouver vos autres items en vente, augmentant vos chances de les vendre.
Les moins de Poshmark?
Idéal pour lister plusieurs items : Si vous n’avez qu’un seul item à vendre, votre garde-robe paraîtra dégarnie et pourra dissuader des gens d’acheter.
Des frais d’envoi: Les items vendus étant envoyés par la poste, des frais d’envoi s’ajoutent au prix de vente pour les gens qui achètent. Vous aurez peut-être à en tenir compte et offrir des rabais pour inciter les gens à absorber les frais d’envoi. À noter cependant que l’application offre souvent des promotions sur ces frais, sans que vous ayez à diminuer vos prix de vente.
Des frais de vente : Vous ne pairez rien pour mettre en vente vos items, mais, lors de la vente, un petit montant sera prélevé sur votre profit. Vous pouvez toujours jouer avec vos prix pour tenter d’absorber ces frais.
Anglais : La plateforme est en anglais. Vous devez être à l’aise dans cette langue pour pouvoir y interagir.
Si vous souhaitez essayer Poshmark par vous-même, indiquez le code HIPPOUNE au moment de créer votre compte pour obtenir un crédit de 15$. Cela me donne également un petit pourcentage, mais c’est un code ordinaire. Il ne s’agit pas d’une commandite.
Conclusion :
Vendre vos objets usagés n’a jamais été aussi facile ! N’ayez aucune hésitation à donner une nouvelle vite à vos objets! Si vous connaissez d’autres applications, indiquez-les en commentaires ci-dessous, avec les avantages que vous y percevez pour ajouter à la connaissance générale. Merci!
Altermonde 